Vendredi 11 septembre
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20:39
Je te pétrissais, je malaxais consciencieusement ta chair souple et tiède, te croquant de temps en temps. J'aimais regarder les petits bourrelets que tu faisais entre
mes doigts quand ma main t'aggripait, tirant un peu, puis relâchant, pour repartir de plus belle, te retourner vigoureusement, et recommencer à enfoncer ma main dans ta surface. Mes doigts
s'aventuraient parfois là où ils voulaient un orifice, y gigotaient pendant un instant. Lascive, tu me laissas faire quand je t'administrai une claque à ton point le plus charnel, puis approchai
mon visage, te humant, sentant sur ma lèvre supérieure l'écho de mon souffle.
Puis je te laissai, inerte et alanguie, nous laissant savourer un peu ce souvenir. Je revins quelques dizaines de minutes plus tard, pendant ton sommeil, et je te déchirai en morceaux, morceaux que je disposai sur deux plaques, plaques que je mis au four.
Maintenant tu cuis, et bientôt je te mangerai. Je sens d'ici ton odeur de pain frais.
Voilà, et je me permets de signaler que la suite de Travaux pratique est dispo dans le dernier article. La fin arrive très bientôt.
Puis je te laissai, inerte et alanguie, nous laissant savourer un peu ce souvenir. Je revins quelques dizaines de minutes plus tard, pendant ton sommeil, et je te déchirai en morceaux, morceaux que je disposai sur deux plaques, plaques que je mis au four.
Maintenant tu cuis, et bientôt je te mangerai. Je sens d'ici ton odeur de pain frais.
Voilà, et je me permets de signaler que la suite de Travaux pratique est dispo dans le dernier article. La fin arrive très bientôt.
